SUP-H

Déontologie

Charte de déontologie des professionnels de l’hypnose et des thérapies brèves 

Une charte de déontologie pourquoi et dans quel but ? Lorsque le Syndicat Unitaire des Professionnels de l’Hypnose m’a contacté pour la rédaction conjointe de cette charte j’y ai vu plusieurs points d’intérêts, précisément trois : un intérêt ontologique, un intérêt déontologique et un intérêt syndical. L’ontologie étant la science de l’être, il faut d’abord se définir, savoir ce que nous sommes et donc ce que nous ne sommes pas. Cette charte a le mérite de rappeler son champ d’application donc de définir une profession non réglementée en précisant ce qu’elle n’est pas et de fixer les limites de son action ainsi que les conditions de son action c’est l’objet de son article 1 et de son article 2. Connaissant sa nature il plus clair de comprendre ses devoirs c’est l’aspect déontologique. La déontologie est un corps de règles qui garantissent le client dans son rapport avec un professionnel et qui fixe les rapports entre professionnels, c’est l’objet des articles 3 et 4. Cette garantie de transparence est une exigence qui n’est pas une contrainte mais constitue pour le professionnel une véritable protection. Cela étant posé cette charte a un intérêt syndical. En effet elle fédère l’ensemble de ses adhérents par un engagement à la respecter et donc à avoir un exercice professionnel cohérent. C’est l’intérêt syndical de défendre une profession, d’être une force de proposition auprès des pouvoirs publics et de se projeter dans l’avenir. Rédiger une charte, la promouvoir et la mettre en oeuvre montre la maturité d’une profession, son sens général de la responsabilité et sa capacité à se prendre en charge dans l’ordonnancement législatif et réglementaire afin de le faire évoluer en concertation avec ses représentants en ayant à l’esprit tout à la fois l’intérêt général et l’intérêt de la profession. C’était le premier pas nécessaire pour être lisible, visible et compris. La suite vous appartient. Gilles Boxo, Avocat, Ancien Bâtonnier, Membre du Conseil National des Barreaux.

Lettre d’Information Client : disponible en annexe 1 de la Charte de Déontologie

Charte de déontologie des Métiers du Bien-Etre

La Chambre Nationale des Professions Libérales (CNPL) est un organisme représentatif des professions libérales. Elle regroupe les professions libérales au sein de quatre secteurs (ou collèges) : les professions du Droit, de la Santé, Technique , du Cadre de Vie, ce dernier regroupant l’ensemble des professions non règlementées. La vocation de la CPNL est de préserver et améliorer la protection sociale des professions libérales, négocier un statut fiscal adapté à l’exercice libéral, et faire entendre distinctement la voix des professions libérales sur les grands sujets de société. Elle est présente dans la plupart des instances officielles (Commission Nationale des Professions Libérales, Union Nationale des Caisses d’Assurance Maladie, Conseils et Bureaux des Caisses de Retraite des Professions Libérales, Caisse Nationale d’Allocations Familiales, dans les URSAAF, Conseil Economique, Social et Environnemental…).

Le SUP-H a rejoint la branche des Métiers du Bien-Etre de la CNPL à sa création en 2021 et travaille auprès de 14 syndicats (au 01/01/2023) de métiers du bien-être (Naturopathie, Sophrologie, Shiatsu, Réfexologie, Kinésiologie, Reiki, Massages Bien-Etre) et sous la Présidence d’Alexandra Attalauzitti à la normalisation et la reconnaissance des métiers du bien-être.

La charte présentée ci-dessous est le fruit de ce travail de concertation et est portée par la CPNL. Elle édfinit en pré-ambule la notion de métier du bien-être :

«Par leur spécificité et la diversité des disciplines, les métiers du bien-être favorisent globalement le mieux-être et l’équilibre des personnes à travers un large choix de techniques. Chaque action de bien-être peut être associée à la notion d’accompagnement d’un client vers un état de relâchement physique et intellectuel en pleine conscience. Par induction, on associe le bien-être au principe de se sentir mieux. Par capillarité, les métiers du bien-être, au sens de la présente charte, contribuent également préventivement à l’entretien du capital santé (préventif) des personnes, en complémentarité avec les métiers du secteur médical (curatif). Bien sûr, chaque secteur évolue dans le sens de son domaine sans intention d’intervenir dans un secteur adjacent. Le professionnel du bien-être reconnait de fait qu’il n’est pas en mesure de soigner tel que le ferait un professionnel de santé.»

La présente charte des métiers du bien-être énonce un ensemble de principes, de règles et d’usages que tout professionnel du bien-être doit observer et respecter dans l’exercice de sa profession. Elle permet d’accorder les objectifs communs des métiers du bien-être ainsi que les droits et les devoirs de chacun au sein de la Chambre Nationales des Professions Libérales.

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